Alliances      

    

Familles alliées jusqu’à la fin du XIXème siècle

 

d’Albis

Ancienne famille originaire de Saint-Affrique (Rouergue) dont une branche, celle de Razengues, se fixa en Albigeois, anoblie par charge au XVIIème siècle.

La branche albigeoise porte «  D’azur semé d’étoiles, treillissé de sable » alias « D’azur au semis d’étoiles d’argent, treillissé de même » devise : Albus in Albis.[1]

 

 

 

 

XV  Jean-Jacques de Roquemaurel, baron de la Tour épousa en 1764 Marie Marguerite Bernarde  d’Albis.

 

 

de Barthe

Famille noble du Couserans.

 

X Jean-Paul de Roquemaurel (Montastruc) épousa le 24 février 1602 Marguerite de Barthe.

 

de la Barthe

Le pays de la Barthe, ancienne seigneurie composée des quatre vallées d’Aure, de Neste, de Magnoac et de Barrousse, a donné son nom à une ancienne et illustre maison issue des anciens comtes d’Aragon dont elle a retenu les armes qui sont : « D’or à 4 pals de gueules[2] » et une tête de bouc pour cimier. Ses anciens seigneurs l’ont possédé sous le titre de vicomté, il fut réuni à la couronne en 1481.[3]

VIII  Marguerite de Roquemaurel épousa Louis de la Barthe, seigneur de Ségure, Lodet, etc.

 

 

de Benque

Très ancienne maison issue selon Jaurgain de la maison de Comminges, des recherches plus récentes ont montré qu’en fait elle avait une origine commune avec la maison de Comminges ; elle posséda dès le XIème siècle le comté de Benque en Comminges.

Elle portait : «  De gueules, à la croix d’or.[4] »

 

XIII Paul de Roquemaurel (Montégut) épousa en 3èmes noces en 1718 Anne de Benque

 

de Bertier

Très ancienne maison de chevalerie du Languedoc (une tradition la fait descendre de Bertier, maire du Palais, fils du roi de Thuringe et père de sainte Radegonde qui a été de tout temps patronne de cette maison[5]) selon Villain, famille anoblie par capitoulat au XVème siècle selon Navelle.

Cette maison a compté un grand-maître des Eaux et Forêts sous Charles VII, trois premiers présidents de Parlement, cinq évêques, un grand chancelier de la reine Marguerite de Navarre, etc. et fut admise aux honneurs de la cour.

Elle porte « D’or au taureau furieux de gueules, onglé et accorné d’azur, chargé de 5 étoiles d’argent en bande. »  Devise : « Ornat sidera virtus et coelestis origo. »[6]

 

 

 

XII Paul de Roquemaurel (Montégut) épousa en 1ères noces en 1693 Madeleine de Bertier de Castelbon

 

de Binos

Une des plus anciennes familles de la Haute Guyenne et du comté de Comminges. Elle est originaire de la vallée de Layrisse où elle était connue dès le XIIIème siècle. Elle possédait la seigneurie de Binos où elle résidait et celles de Moustajon, Antignac, Salles, Lège, Signac, Cierp et Marignac. Elle avait des droits à Arros, Antichan et autres lieux.

Elle porte   «  D’azur à la roue de Sainte Catherine d’or. » Cimier : un casque de chevalier orné de lambrequins, alias « d’or à deux vaches de sinople, au chef d’azur chargé d’une roue de Sainte Catherine d’argent » alias « d’or à la roue de gueules soutenant un chardon de sinople ».[7]

 

XIV Marie-Jacquette de Roquemaurel (Montégut) épousa le 18 juillet 1758 Jean-François de Binos.

 

de Bonne

Très ancienne maison originaire du Dauphiné, illustrée notamment par le maréchal de Lesdiguières, duc et pair, le dernier connétable de France. Une branche de cette maison s’établit en Languedoc à la fin du XIIIème siècle. Cette maison porte « De gueules au lion rampant d’or, au chef cousu d’azur chargé de trois roses d’argent, alias de trois étoiles d’or. » Devise : Gradiendo robore floret[8]. Les armes anciennes étaient : « De gueules à une bande d’or chargée d’un ours de sable. »

 

XV Jean-Jacques de Roquemaurel (Saleich puis Grenade) épousa Marie Madeleine Victoire de Bonne de Missècles

 

de Bordes

Il existe trois familles nobles du Couserans et de Comminges portant ce patronyme, celle qui nous intéresse avait le fief de Sarradas.

 

X Octavien de Roquemaurel (d’Ustou) épousa le 29 mai 1588 Catherine de Bordes

 

 

de Bossost ( alias de Boussost )

La maison de Bossost est un rameau de la maison d’Espagne, des anciens vicomtes de Couserans et comtes de Paillas. Pierre et Bonhomme d’Espagne, reçurent d’Ildefonse roi d’Aragon, en 1232, les châtellenies de Seuters et de Bossost dans le val d’Aran. Celui des deux frères qui eut la châtellenie de Bossost  en prit le nom.

Cette maison porte « D’argent à deux flèches de gueules, passées en sautoir et accompagnées en chef, alias en pointe, d’une croix pattée de gueules, aux flancs dextre et senestre d’une corneille de sable aux bec et pieds de gueules et en pointe, alias en chef,  d’un arbre de pin de sinople. » alias « D’argent à la fasce de sable chargée de deux merlettes de champ[9] »,  Marc Antoine de Boussost, seigneur de Franquevielle, portait « D’or à une corneille de sable becquée et membrée de gueules »

 

XIII Jeanne de Roquemaurel (Montégut) épousa en 1702 Marc-Antoine de Bossost

 

de Boussens

Ancienne famille noble du Comminges qui tire son nom d’un bourg éponyme.

En 1513 noble homme Guillaume de Boussens, capitaine de Larboust, est signalé dans les lies et passeries[10].

 

XII Jean-Pierre de Roquemaurel (de Lisle de Martres) épousa le 1er septembre 1652 Charlotte de Boussens

 

de Cabalby

Cette famille dit être  un rameau établi en Gascogne et Languedoc de l’ancienne maison italienne des Balbi, que l’on trouve à Turin, en Sardaigne (Balb ), en Toscane ( Balbo ),  en Avignon, en Espagne ( castro et casa de Balbi.) La maison française fournit des ambassadeurs, des gouverneurs et commandants de provinces, des baillis de Malte, des grands d’Espagne, etc.

René Balbi, fils du très puissant seigneur Antoine Balbi, gouverneur de Calabre, commandait cent hommes d’armes dans la province de Catalogne dans la guerre contre les Français. Il épousa le 1er mars 1396 la très haute et très noble Hyacinthe de Lomagne, fille du vicomte de Couserans qui eut en dot le château de Vic[11]. Le nom de Cabalby se serait formé à partir de « ca » contraction gasconne de castro ou casa.

En fait la famille de Cabalby était à l’origine une famille de notaires, connue à Saint-Girons et à Vic, anoblie au XVIème siècle.

Cabalby porte : « D’or à trois poissons d’azur posés en fasce, celui du milieu regardant à gauche. »

 

IX    Lucrèce de Roquemaurel (d’Ustou)  épousa le 29 juin 1582 Etienne de Cabalby

 

X Pierre de Roquemaurel (Cazavet) épousa le 23 septembre 1590 Marguerite de Cabalby.

 

de Castet

Très ancienne maison originaire du comté de Foix, dont la filiation est suivie depuis le XVème siècle. Cette maison avait les seigneuries de la vallée de Biros, de Castillon et de Miramont, terre qui donnait entrée aux Etats de Foix.

Armes : « De gueules au château à trois tours d’argent, ouvert, ajouré et maçonné de sable, au chef d’or chargé de deux corneilles affrontées de sable, becquées et membrées de gueules. »

Devise : En assurance.[12]  Légende : Par guerre et par labeur[13]

 

 

IX Catherine de Roquemaurel épousa par contrat du 17 juin 1557 Raymond de Castet

 

XIII François de Roquemaurel (de Lisle de Martres) épousa le 1er février 1679 Marie de Castet

 

de Cavalier

Ancienne famille noble connue à Toulouse au XVIème siècle et à La Gardelle au début du XVIIème siècle. Les titres de noblesse d’Antoine de Cavalier furent confirmés par jugement souverain du 24 octobre 1669[14].

 

XIV Nicolas-Melchior de Roquemaurel (Saleich) épousa en 3èmes noces Elisabeth de Cavalier

de Chateauverdun

Très ancienne famille de chevalerie qui tire son nom du château de Châteauverdun, dans la vallée de l’Ariège, siège d’une baronnie qui s’étendait encore en 1789 sur 10 paroisses.

La maison de Chateauverdun porte : « D’azur au chevron d’or accompagné de trois tours maçonnées de sable, à la bordure d’argent[15] »

 

VII Arnaud de Roquemaurel épousa vers 1486 Catherine de Chateauverdun

 

de Couderc

Ancienne famille noble du comté de Carcassonne dont la filiation suivie  remonte au XIVème siècle.

Elle porte : « D’azur à la fasce d’or, chargée de trois roses boutonnées de gueules[16] »

 

IX Sylvie de Roquemaurel (d’Ustou) épousa le 23 octobre 1586 Antoine de Couderc

 

de Druilhet

Famille de parlementaires originaire de Toulouse où elle compte une longue lignée de conseillers et présidents de Parlement.

Druillet portait : « D’azur à un chevron d’or, accompagné de trois cloches d’or, deux en chef, une en pointe[17]. »

 

XIV Nicolas-Melchior de Roquemaurel (Saleich) aurait épousé en 1ères noces N… de Druilhet

 

 

 

Dufaur (alias du Faur)

Famille de parlementaires, originaire de l’Ariège, établie à Toulouse au début du XVIIIème siècle.

Armes : «D’azur à une aigle couronnée d’argent, accompagnée en pointe de trois besants de même»[18]

 

 

 

XVI  Marie François Tristan de Roquemaurel (Taurignan) épousa le 25 novembre 1861 Marie Elisabeth Françoise Dufaur

 

d’Encausse

Très ancienne famille de chevalerie qui tire son nom de la terre d’Encausse, siége d’une ancienne baronnie. Cette maison est alliée aux maisons de Bruyères, de Foix, de Galard, de Mauléon etc.

Elle porte : « Ecartelé : aux 1 et 4, de gueules au lion rampant d’or ; aux 2 et 3, d’azur à un besant d’argent, alias à un annelet d’or[19]

 

 

 

XVI Jean Joseph Stanislas de Roquemaurel (de Lisle de Martes) épousa par contrat du 5 février 1808 Marie Josèphe Bernarde d’Encausse

 

        Magdeleine de Roquemaurel épousa  le 14 mai 1686 Pierre d’Encausse, d’Aspet.

d’Espinas alias d’Espinasse

Ancienne famille noble du Comminges. La branche de Cardonne fut maintenue noble par jugement souverain du 2 août 1669 (Mirepoix) et du  23 septembre 1669 (Rieux[20].)

Cette famille porte : « D’argent, au pin de sinople, au chef de gueules, chargé d’une croix d’argent »

IX Arnaud II de Roquemaurel épousa Gabrielle d’Espinas

 

de Faudoas

Très ancienne et illustre maison chevaleresque, la maison de Faudoas tire son nom du bourg et de la baronnie de Faudoas dans le diocèse de Montauban. Raymond-Aner I, baron de Faudoas et Raymond-Arnal de Faudoas furent témoins à l’acte de donation de la terre et église de Gaudonville faite à l’abbaye Saint-Pierre d’Uzerche en 1091. Béraud de Faudoas, chevalier, baron de Faudoas, fut au XVème siècle légataire universel de son oncle Arnaud-Guilhem de Barbazan,  « le chevalier sans reproche », enterré à Saint-Denis, à charge d’en relever le nom et les armes.

Faudoas porte : « Ecartelé aux 1 et 4 d’azur à la croix d’or et aux 2 et 3 de France sans brisure » alias « D’azur à la croix d’or parti d’azur à trois fleurs de lis d’or. »[21] Tenants : deux anges revêtus. Certains prétendent que les trois fleurs de lis ont été concédées à Arnaud-Guilhem de Barbazan, d’autres disent que c’est suite à l’alliance avec la maison d’Estaing qui portait : «  de France au chef d’or » à la suite de la bataille de Bouvines, que les Faudoas écartelèrent leurs armes avec les 3 fleurs de lis de France.

XII Lucrèce de Roquemaurel (Montégut) épousa  le 13 novembre 1648 Pierre-Jean de Faudoas, seigneur de Séguenville

 

Faydit de Terssac

Très ancienne famille de chevalerie, originaire du Bas-Limousin,  remontant à Phaiditz  de Turenne présent à un hommage en 1163. Son fils Pierre prit le nom de Faydit. Un de ses descendants, Hélie Faydit était seigneur de Terssac en Quercy,  en 1275. Jean de Faydit de Terssac III s’établit en Couserans au milieu du XVIème siècle.[22]

Armes : « Burelé d’argent et de sinople de 10 pièces et chacune des pièces d’argent chargée d’une étoile de gueules, qui est de Faydit de Terssac ; au chef d’azur, parti par un trait de sable à deux lions affrontés d’or, couronnés de même, qui est de Sarrazac. »[23]

 

XVIII  Sidonie de Roquemaurel de Lisle épousa le 2 décembre 1875 Jules Faydit de Terssac

 

de Foix de Fabas

La maison de Foix de Fabas est une branche de l’illustre maison de Foix, comtes souverains de Foix, Bigorre, Navarre et Béarn.

Armes :  « D’or à trois pals de gueules[24] » alias « D’or à trois pals de gueules, le 3ème à senestre chargé de 3 losanges d’or, posés en chef  2 et 1 »

XIII Madeleine de Roquemaurel épousa vers 1715 Nicolas Melchior de Foix, seigneur de Fabas.

 

 

 

 

de Garaud

Famille de parlementaires, originaire du Lauragais, établie à Toulouse au XVIème siècle, seigneurs de Montesquieu, de la Tour, de Montfort, de Donneville, de Vieillevigne, marquis de Miramont, comtes de Prat. Cette maison donna des Trésoriers de France et des Présidents à Mortier.

Armes : « D’azur à une fasce d’or à 3 coquilles de même »[25]

 

 

 

 

XIV Nicolas Melchior de Roquemaurel (Saleich) épousa  en 1746 Catherine Euphrasie de Garaud

 

de Gautier de Montguers

Ancienne famille noble de Provence, maintenue en 1643.

Armes : « D’or à un cœur de gueules, enflammé de même, au chef d’azur chargé de trois étoiles d’or »

 

XIV Paul François de Roquemaurel (Taurignan) épousa le 5 mars 1776 Françoise de Gautier de Montguers.

 

de Gilly

Famille noble de Savoie ; une branche, celle qui nous intéresse, s’établit à Saint-Domingue.

Elle porte : « D’or, à trois fasces de gueules » alias « écartelé, aux 1 et 4, d’or, à trois fasces de gueules ; aux 2 et 3, d’argent, à trois corneilles de sable [26]»

 

XV Joseph Roger de Roquemaurel (de Lisle de Martres) épousa le 3 avril 1753 Marie Louise Victoire de Gilly

 

 

 

 

 

 

 

 

de Laforgue de Bellegarde

Ancienne famille noble originaire de Magnoac (Agenais)

Elle porte : « Coupé : au 1, d’or à deux lions affrontés de gueules , au lambel de même ; au 2, palé d’argent et d’azur de six pièces » alias « Coupé : au 1, d’or à deux lions affrontés de sable au lambel de même ; au 2, d’argent à trois pals d’azur [27]. »

XV Anne Françoise Euphrasie de Roquemaurel (Saleich) épousa le 25 septembre 1780 Louis de Laforgue de Bellegarde

 

 

de La Mothe

Très ancienne famille dont les membres se qualifiaient des seigneuries de Campels, d’Izaut, de Gramont, de Saubens et de Riolas en Comminges. Elle est alliée à la maison de Rochechouart. Ses membres ayant établi leurs preuves de noblesse depuis 1493 furent maintenus par M.Le Pelletier, intendant de la généralité de Montauban, le 10 février 1699 et par M.Laugeois, le 11 novembre 1715.

Armes : « D’argent, à trois palmes rangées et terrassées de sinople, chacune sur une motte de même. » alias « D’argent à trois cyprès de sinople, terrassés du même, posés en pal[28]. »

 

XV Jules de Roquemaurel, baron de Taurignan, épousa, le 28 mai 1816, Hélène de La Mothe.

 

de Langlade

 

Cette famille était connue à Saint Girons avec les patronymes suivants : Anglade ou d’Anglade ou Langlade ou de Langlade. Ses membres étaient qualifiés nobles et écuyers au XVIIème siècle, le plus connu d’entre eux fut 1er  médecin de la reine d’Espagne au début du XVIIIème siècle. Cette famille est alliée aux familles Faydit de Terssac, de Castet, de Castéras, etc. Jean Pierre Langlade était seigneur pour les trois quarts de la seigneurie d’Eycheil qui lui avait été donnée par demoiselle Claire Langlade, veuve de noble Jean Baptiste de Castéras ; il rendit hommage au roi Louis XVI en 1781. Il fut maire de Saint Girons en 1786-1787[29].

Armes : «  De sinople au sautoir d’argent, cantonné de 4 cors de même »

 

XVI Marie Melchior Auguste de Roquemaurel de Lisle épousa  le 26 novembre 1801 Gabrielle  Langlade.

 

 

 

 

 

 

de Lapasse

 

Très ancienne famille originaire d’Espagne, un cadet de cette maison s’attacha au service des comtes souverains de Foix. La généalogie suivie de la branche française remonte à Raymond-Arnaud de Lapasse, ambassadeur en 1090 du comte de Foix auprès du roi d’Aragon.

Armes : « D’azur au pin d’or, fruité de gueules, affronté à dextre d’un lion d’argent (alias d’or) et à senestre d’un lévrier aussi d’argent (alias d’or), colleté de gueules, au chef de gueules chargé de trois étoiles d’or. » Devise : Altus origine ab alta.[30]

 

 

XII Marguerite de Roquemaurel (Montégut) épousa le 29 décembre 1666 Balthazar de Lapasse

 

XIII François de Roquemaurel (d’Ustou) épousa le 17 octobre 1689 Marthe de Lapasse.

 

de Lavigne

Famille noble de Gascogne, qui porte : « D’argent au cep de vigne terrassé de sinople, fruité de pourpre ; au chef d’azur chargé de trois étoiles d’or[31]. »

 

XVII Sidonie de Roquemaurel (Taurignan) épousa en 1853 Auguste de Lavigne.

 

 

 

 

de Lordat

 

Très ancienne famille de chevalerie du comté de Foix. Jean de Lordat assista à la première croisade contre les infidèles en 1096[32] ; la généalogie remonte à Guillaume de Lordat, chevalier en 1154, qui épousa Béatrix du Fossat. Le château de Lordat dont elle tire son nom situé dans la vallée de l’Ariège, était cité en 1034.

Armes : « D’or à la croix de gueules. » alias « D’or à la croix alésée de gueules » Supports : deux lions lampassés de gueules. » Devise : Pro fide[33]

 

XIII Antoine de Roquemaurel (Taurignan) épousa le 23 février 1724 Madeleine de Lordat.

 

de Lort alias Delort

Très ancienne maison d’origine militaire, originaire de Guyenne et de Comminges, alliée à l’illustre maison de Comminges. Bernard, comte de Comminges inféoda en faveur de Georges de Lort et de ses successeurs la seigneurie noble de Moura le 20 mars 1225. Noble Bernard de Lort épousa en 1431 Henriette de Comminges et reçut en fief en 1450 la maison noble du Pesqué,  d’Aymeric de Comminges.

Armes : « De sable à une croix ancrée d’argent, chargée au cœur d’une fleur de lis de gueules et une bordure engrêlée d’argent. » Cimier : un casque aux trois quarts tourné, à visière ouverte et grille d’or, orné de lambrequins aux métaux de l’écu. Supports : deux levrettes au naturel. La fleur de lis dans les armes a été accordée par le roi Charles VII.

 

XI Jean-Louis de Roquemaurel (Montastruc) épousa le 6 mars 1635 Françoise de Lort.

 

XIII Madeleine de Roquemaurel (Montégut) épousa en 1ères noces le 14 mai 1686 Jourdain de Lort.

 

de  Médrano

Ancienne famille noble originaire de la Navarre espagnole qui s’établit en France par le mariage en 1550 de Julien de Médrano avec Séréne de Montauban, dame de Flourés.

Armes : « Coupé d’azur et d’or à une fasce d’argent (alias de sable) brochant, chargé en chef d’une colombe volant de même portant en son bec une banderole avec Ave Maria Gratia Plena et en pointe d’une croix fleurdelysée de sable, à la bordure de gueules chargée de 13 tours de sable. » ou «  De gueules à une fasce d’or chargée de 3 bandes d’argent accompagnée en chef d’une colombe de même, contournée, becquée, onglée de gueules, tenant en son bec un liston de sable chargé des lettres A.M.G.P et en pointe d’une croix pattée de même ; l’écu bordé d’azur à 13 tours d’argent maçonnées de sable.[34] »

                   

XVI Charlotte de Roquemaurel Lordat épousa en 1825 Achille de Médrano de Malsang.

 

de Méritens

 

Famille d’ancienne chevalerie, originaire du Béarn, établie en Comminges et en Couserans au XIVème siècle. Pierre de Méritens, écuyer, rendit hommage pour la terre de Montagut (Montégut) en Couserans en 1389.

Armes : « D’azur au chêne d’argent auquel est attaché un lévrier du même »[35] ; Devise : « Liber sed fidélis »

 

 

 

 

X Ysabeau de Roquemaurel épousa le 11 février 1613 Jean-Roger de Méritens.

 

XII Octavien de Roquemaurel (d’Ustou) épousa  vers 1645 Jeanne de Méritens.

 

XIX Noémie de Roquemaurel de Lisle épousa  le 4 novembre 1912 Gaston de Méritens.

 

du Pac

Très ancienne maison, originaire du Béarn, de temps immémoriaux attachée aux rois de Navarre. En 1226, durant la croisade des Albigeois,  Louis VIII fit prendre l’oriflamme à Saint-Denis et en confia la garde à un du Pac. Louis du Pac fut tué à Damiette en 1249 durant la IIIème croisade. La maison du Pac était établie en Couserans avant le XIIIème siècle, d’où elle essaima en Languedoc.

Armes : « D’or à la vache de gueules, cornée et clarinée d’azur, passant au brochant sur le fût d’un arbre de sinople sur une terrasse de même » timbrées d’une couronne de marquis, supports : deux lions lampassés de gueules. La concession de joindre aux armes une vache clarinée d’azur semblable à l’écu de Béarn, vient des rois de Navarre. Devise : « Atavis et armis. »[36]

 

 

XIII Marie-Anne de Roquemaurel (Taurignan) épousa en 1708 Charles du Pac de Marsoulies.

 

des Plas

Cette ancienne famille noble du Bas-Limousin, selon L. Esquieu,  s’établit en Quercy, elle fut maintenue noble en 1699 sur preuves depuis 1535. Elle porte : « D’azur, au lion d’or, armé et lampassé de gueules, accompagné de neuf besants d’or en orle » alias : « D’azur, à un lion d’or, couronné de même, lampassé de sable et armé de gueules, et neuf besants d’or posés en orle » alias : « D’azur, au lion d’or, couronné du même, lampassé de sable et armé de gueules[37]. »

 

XVII Sophie de Roquemaurel (Saleich) épousa en 1828 Alphonse Desplas (le patronyme fut rétabli en des Plas en 1865)

 

de Pradel de Lamaze

Ancienne famille connue à Uzerche en Limousin depuis le XVème siècle, où elle exerçait les charges de conseiller au sénéchal d’Uzerche et de lieutenant au sénéchal d’Uzerche. Plusieurs de ses membres acquirent une noblesse personnelle au XVIIème siècle, elle reçut des lettres de confirmation de noblesse en 1700. Elle est alliée aux grandes maisons du Limousin : Lubersac, Maumont, Roffignac dont elle hérita les biens et les titres.   

 Armes : « De sable au lion d’argent passant, au chef d’or chargé de trois billettes d’azur »

 

 

 

XVIII Pierre de Roquemaurel (Saleich) épousa le 27 juillet 1898 Marie-Thérèse de

Pradel de Lamaze.

 

de Pujol

Plusieurs familles nobles portent ce patronyme. Celle dont il s’agit ici est probablement celle originaire de Cazères qui s’établit ensuite à Montesquieu Volvestre, elle apparut comme noble au XVIème siècle.

 

XI Lucrèce de Roquemaurel  épousa le 22 janvier 1622 Hélie de Pujol, écuyer de la vallée de Massat.

 

de Rochefort ( alias de Roquefort )

Très ancienne famille alliée à la maison de Narbonne.

Louis de Rochefort, seigneur de Pis, portait : « D’azur à trois roues d’argent, posées 2 et 1 ; au chef échiqueté d’argent et de gueules de deux traits[38]. »

XIII Paul de Roquemaurel (Montégut) épousa en secondes noces le 11 janvier 1707 Claire de Rochefort.

 

 

 

de  Rocous-Saint Amans

Famille connue à Toulouse depuis la fin du XVIIème siècle. Jean de Rocous, baron d’Is, seigneur de Saint Amans assista à l’assemblée de la noblesse à Toulouse en 1789.

Armes : « De gueules au mont d’argent componé de sinople et sommé de deux colombes se becquetant d’argent, au chef cousu d’azur, chargé d’un croissant d’argent accosté de deux étoiles d’or »[39]

 

XVI François Jules de Roquemaurel, baron de Lordat, épousa le 14 janvier 1840 Anne  Marie Charlotte de Rocous-Saint Amans.

 

de Rudelle

Très ancienne famille connue à Cassagnes en Rouergue depuis Etienne de Rudelle mort avant 1390. Elle parut à l’assemblée de la noblesse en 1789.

Armes : « D’azur à trois roues d’or » alias « D’azur à trois roues d’or accompagnées de trois étoiles du même 1 en chef et 2 en pointe. » Devise : Sapientia fortunam vincit.[40]

 

 

XVII Marie Pauline Victoire de Roquemaurel La Tour épousa le 7 février 1842 son cousin germain Alphonse de Rudelle.

 

de Saint-Jean de Pointis

Une des plus anciennes familles du Haut-Couserans, connue dès 1202. Gaspard de Saint-Jean devint baron de Pointis par son mariage avec Catherine de Comminges en 1535. Son fils Gaudens de Saint-Jean qui avait épousé Françoise de Comminges, fille du vicomte de Couserans, fut maintenu dans le titre de vicomte de Couserans en partie, par un arrêt du parlement de Toulouse en 1609.

Armes : « D’azur à deux lions affrontés d’or soutenant une cloche d’argent. » Certaines branches portaient   « D’azur à la cloche d’argent bataillée de sable, accostée en pointe de 3 étoiles d’or alias de 3 molettes d’éperon d’argent »[41], Couronne de marquis. Devise : Petite cloche, grand son.

La maison de Roquemaurel eut quatre alliances successives avec la maison de Saint-Jean de Pointis.

 

XIII Marie de Roquemaurel (Montégut) épousa le 27 novembre 1685 Jean-Jacques de Saint-Jean de Pointis.

XIV Jourdain de Roquemaurel (Montégut) épousa le 7 mai 1734 Françoise de Saint-Jean de Pointis, fille des précédents.

XIV Marguerite de Roquemaurel (d’Ustou) épousa par contrat du 21 novembre 1709 Jean-Jacques de Saint-Jean de Pointis, fils de Marie de Roquemaurel, degré XIII. Marguerite de Roquemaurel, héritière de sa branche apporta à son mari sa part de sa coseigneurie d’Ustou. Celui-ci qui avait hérité des vicomtes de Couserans l’autre part de cette coseigneurie devint seul seigneur de la vallée d’Ustou et se qualifia vicomte d’Ustou.

XV Hector de Roquemaurel (Saleich) épousa par contrat du 16 février 1789 Catherine de Saint Jean de Sérac. La branche de Saint Jean de Sérac de la famille de Saint Jean de Pointis était issue de Jean Jacques de Saint Jean, sieur de Sérac, 5ème fils de François de Saint Jean, seigneur de Soueich, baron de Pointis, vicomte de Couserans et de Marie d’Amorie.

 

de Saint-Orens

Très ancienne famille noble alliée à la maison de Comminges.

Elle porte : « D’azur, au chevron d’or, chargé de 3 flammes de gueules, accompagné en chef de 2 colombes[42]. » alias « Parti d’azur à une tour carrée d’argent maçonnée de sable, et d’azur à une croix de Malte d’argent » alias « Parti au 1,  d’argent à une croix pattée de sable ; au 2, d’argent à une tour, alias à trois tours, de sable maçonnée d’argent[43]. »

 

XIII-4 Françoise de Roquemaurel d’Ustou épousa en  1697 Jean de Saint-Orens de Dèze, seigneur de Frontignan en Comminges.

 

 

de Salimbeni

Branche établie à Toulouse en 1778 de la maison Bartolini del Fouray, marquis de Salimbeni (Italie)

Armes : « De gueules, écartelé au premier et au dernier au lion rampant, au deuxième et au quatrième à trois losanges, posés 2 et 1, le tout d’argent. »

 

XVI Zoé de Roquemaurel (Saleich) épousa  en 18.. Théodore de Salimbeni de la Granderie.

 

de Séguret

Famille noble originaire de Rodez. Elle parut à l’assemblée de la noblesse en 1789.

Armes : « Ecartelé au 1et 4, d’azur, à la tour d’argent maçonnée de sable, à trois étoiles d’or au chef ; aux 2 et 4 d’azur, au chevron d’or, accompagné en chef de deux étoiles d’argent et un lion rampant de même en pointe »[44]

 

XVI Jourdain de Roquemaurel,  baron de la Tour épousa le 8 février 1804 Sophie-Amanse de Séguret.

 

de Seissan de Marignan

Famille originaire de Mirande en Armagnac, qui donna des présidents du présidial d’Auch, juges mages d’Armagnac, plusieurs membres votèrent avec le second ordre en 1789. Elle  porte : « D’argent, à un oranger terrassé de sinople ; au chef d’azur, chargé d’une canette d’or, accostée de 2 cœurs d’argent[45]. »

 

XV François de Roquemaurel, baron de Lordat épousa en 1800 Amélie de Seissan de Marignan.

et au XXème siècle :

XIX Jean de Roquemaurel (Saleich) épousa en 1947 Germaine de Seissan de Marignan.

 

de Siregand alias de Sirgand alias de Sirgant

Ancienne famille originaire du pays et vicomté de Nebouzan, alliée à la maison de Comminges. Elle fut maintenue noble en 1669 et 1697.

Armes : « D’azur à une main gantelée d’argent mise en fasce, supportant un épervier longé d’or, au chef cousu de gueules, chargé de deux croissants d’argent [46]» alias « De sable au chef d’argent, chargé d’un faucon de sable soutenu d’une main de gueules »

XI Octavien de Roquemaurel (Montégut) épousa le 12 février 1622 Gabrielle de Siregand.

 

XI Girons de Roquemaurel (d’Ustou) épousa le 15 juin 1614 Marguerite de Siregand.

 

 

 

de Soulancé

Ancienne famille de Cazères qui apparut comme noble au XVIème siècle.

 

X Françoise de Roquemaurel (Cazavet) épousa le 23 avril 1589 François de Soulancé.

 

XVI Marie Catherine Stanislas de Roquemaurel (de Lisle de Martres) épousa le 13 avril 1779 Elie-Joseph de Soulancé.

 

de Suarès d’Almeyda

La famille de Suarès d’Almeyda vient d’Espagne, selon J.Villain, du Portugal selon A.Brémond, on la croit une branche de l’antique maison des Suarès Figueira dont était le duc de Féria. Jean de Suarès, né en 1696, s’établit à Saint-Domingue  et se fixa dans la partie française de cette île. Il mourut à Toulouse en 1771. Louis Clément Adolphe de Suarès d’Almeyda ayant fait ses preuves de noblesse devant le juge d’armes de France fut admis dans les gardes du corps du roi en 1814.

Armes « Coupé, en chef parti, écartelé aux premier et quatrième de gueules, à la tour crénelée d’argent, maçonnée de sable ; aux deuxième et troisième, d’argent au lion rampant de gueules ; parti de gueules à trois pals d’or ; en pointe d’or, à l’arbre de sinople terrassé de même, affronté à sénestre d’un lion de gueules rampant contre le fut de l’arbre[47] »

 

 

XVIII Julie Marie Jeanne de Roquemaurel Lordat épousa le 25 août 1897 Henri Marie Alphonse de Suarès d’Almeyda.

 

d’Ustou

Ancienne famille de chevalerie. La maison d’Ustou tire son nom de la seigneurie et vallée d’Ustou dont elle posséda longtemps une partie. Le reste de cette seigneurie et vallée appartenait aux vicomtes de Couserans, souverains du pays.

En 1243 Raymond d’Ustou, et Arnaud d’Escuns, chevaliers, se rendirent otages comme garants d’un accord fait entre le comte de Pailhas et Roger de Comminges.

Jacques, coseigneur d’Ustou, testa le 27 mars 1560, instituant comme héritier noble Girons de Roquemaurel, son neveu, à charge de porter les noms et armes d’Ustou.

Armes : « D’or au taureau passant armé de gueules » alias « D’or à la vache de gueules colletée et clarinée d’azur » alias « D’or à une vache de gueules accolée, cornée et clarinée d’argent, passant sur une terrasse de sable. » Supports : deux lions. Couronne de marquis.[48]

 

VIII Jean de Roquemaurel épousa vers 1513 Catherine d’Ustou

 

X Marc-Antoine de Roquemaurel (Montégut) épousa le 29 mars 1597 Paule d’Ustou de la Moulette.

 

XII Jean de Roquemaurel (Montégut) petit-fils de Marc-Antoine, épousa le 18 décembre 1659 Marthe d’Ustou de Montgaillard.

 

XIV Jean de Roquemaurel (de Lisle de Martres) épousa par contrat du 1er février 1723 Rose d’Ustou (branche d’Huos)

 

 

 

 

 

 

de Vendômois

Ancienne famille de chevalerie, citée au XIIIème siècle, originaire du pays de Vendômois dont elle a pris le nom. Elle essaima en Anjou et dans le Maine. La maison de Vendômois s’allia à l’illustre maison de Vendôme au XIIIème siècle et à l’illustre maison de Bourbon-Vendôme au XVème siècle. Une branche se fixa en Couserans au XVIème siècle.

Armes : « Coupé en chef d’or à trois fasces de gueules en pointe d’hermine[49]. »

 

XII Octavien de Roquemaurel (Montastruc) épousa le 19 février 1688 Isabeau de Vendômois.

 

de Vignes (Cayras ; Saint-Orens)

Famille de parlementaires de Toulouse, seigneurs de Saint-Orens, Gameville, Cayras, Lantourville, Mauvices, Colomiers, etc.; plusieurs de ses membres assistèrent à l’assemblée de la noblesse tenue à Toulouse en 1789.

Armes : « D’argent à une grappe de raisin de sable pendante à une branche feuillée de sinople, au chef cousu d’azur, chargé d’un croissant d’argent, accosté de deux étoiles d’or[50] » alias « D’argent, au cep de vigne tortillé à un échalas de sable, feuillé de sinople, terrassé de même, chargé de deux raisins de gueules ; au chef d’azur, chargé d’un croissant d’argent, accosté de deux étoiles d’or[51]. »

 

XVI Théodore de Roquemaurel (Saleich) épousa le 6 mars 1813 Dorothée de Vignes-Cayras.

 

Vivier de Lauras

Famille originaire de Saint-Georges de Luzençon en Rouergue. Pierre Vivier de Lauras, conseiller, secrétaire du roi à la cour des aides de Montauban fut anobli vers 1700. Il avait acheté en 1699 à noble dame Marthe de Goudon, les droits seigneuriaux de Lauras.

Armes : «  de gueules à un vivier d’argent chargé de deux poissons de sable et surmonté d’une oie d’or »

 

XVII Ernest de Roquemaurel (Saleich) épousa le 3 août 1869 Anne Marie Victoire Vivier de Lauras.

 

 



[1] Vicomte de Bonald, op.cité; Roger Bourse, Armorial de la Gascogne gersoise, dont est extrait l’écu ainsi que ceux en couleur dans cette annexe.

[2] R. Bourse, op. cité

[3] La Chenaye- Desbois

[4] Jougla de Morenas, op.cité ; R. Bourse, op.cité

[5] J.Villain, op.cité

[6] L  de La Roque, op.cité

[7] J. Villain, op.cité ; R. Bourse, op. cité

[8] Vicomte de Bonald ; Jougla de Morenas ; R. Bourse, op. cité

[9] R. Bourse, op. cité

[10] AD. A E 891

[11] Vic en Couserans, op.cité. Le fait que son père soit cité comme vicomte de Couserans est en contradiction avec l’histoire de la maison de Comminges et celle de la vicomté de Couserans, ce qui montre bien que l’origine de Cabalby est légendaire.

[12] J. Villain, op.cité

[13] Brémond, op.cité

[14] L. de La Roque, op.cité, p.41

[15] R. Bourse, op. cité

[16] H. Jougla de Morenas, op. cité

[17] R. Bourse, op. cité

[18] J. Villain, op.cité

[19] Jougla de Morenas, op. cité

[20] L. de La Roque, op.cité

[21] J. Villain, op.cité ; R. Bourse, op. cité

[22] La Chenaye-Desbois

[23] L. Esquieu, op.cité

[24] R. Bourse, op.cité

[25] J. Villain, op.cité ; L. de La Roque, op.cité ; L. Bourse, op. cité

[26] Jougla de Morenas, op.cité.

[27] R. Bourse, op. cité

[28] R. Bourse, op. cité

[29] Archives de M. Louis Faur, à Gajan

 

[30] J. Villain, op.cité ; R. Bourse, op. cité

[31] R. Bourse, op. cité

[32] Canso de San-Gili, rapportée par Alphonse Brémond dans son Nobiliaire toulousain, op.cité

[33] A. Brémond, op.cité, t.II, p.107 ; R. Bourse, op. cité

[34] R. Bourse, op. cité

[35] J. Villain, op.cité

[36] J. Villain, op.cité ; R. Bourse, op. cité

[37] L. Esquieu, op. cité, p. 82

[38] R. Bourse, op. cité

[39] J. Villain, op.cité

[40] Vicomte de Bonald, op.cité

[41] R. Bourse, op. cité

[42] Jougla de Morenas, suppl. Warren, op.cité

[43] R. Bourse, op. cité

[44] Vicomte de Bonald, op.cité

[45] Jougla de Morenas, suppl. Warren, op.cité ; R. Bourse, op. cité

[46] R. Bourse, op. cité

[47] A. Brémond, op. cité,t.II,p.444

[48] J. Villain, op.cité ; R. Bourse, op. cité

[49] R. Bourse, op. cité

[50] Armorial général, d’Hozier, Toulouse, Montauban

[51] A. Brémond, op.cité